jeudi 22 avril 2010

Je suis diplômée !!!

Nan, nan, je ne suis pas tombée sur la tête à reprendre des études, j'ai passé la journée à l'Ecole, chez Alain Ducasse. Et bien la cuisine de 9h00 à 17h00, c'est un métier.
 Je sais maintenant à peu près correctement confectionner un jus double (jus de viande+ jus de navarrin), bien tailler régulièrement des légumes en sifflet, faire une chantilly à la main, émulsionner correctement le risotto.



Nous étions un petit groupe très sympathique et avons partagé nos expériences autour d'un grand menu de printemps:
Velouté de petits pois au jambon crispy,
Risotto à la tomate et carré d'agneau au petits légumes sautés,
Verrinne citron crumble chantilly.
Le tout dans une cuisine grande comme un loft, dotée de tous els éléments derniers cris: Couteaux porsche design (le petit ne coupait pas très bien, mais pur objet !!!), batteur Kitchen Aid, robot culinaire Thermomix, verrines de présentation superbes, assiettes aussi et tablier de Chef collector. Quand je vais le mettre Samedi, je vais avoir l'impression de passer sur Cuisine TV

Faire et déguster, c'est top !
Manger par exemple un carré d 'agneau à 15h30 avec des légumes sautés est une expérience encore jamais réalisée, en dehors des repas de Noël, mais du point de vue gustatif et sensoriel, ca valait le coup. Et en plus, je ne me suis pas sentie décalée, juste à l'aise. J'en suis sortie en ayant le sentiment que je n'étais pas si nulle que ça, autant dire une autosatisfaction jouissive !!!

Bref, une bonne journée, hors de mes préoccupations habituelles. Cool !!!








dimanche 18 avril 2010

les prétendants

Pour qui ne connaît pas le Cap d'Antibes ou le Cap Ferret (l'intrigue aurait pu s'y drouler, vu le positionnement social des personnages et les villas cossues qui s'y trouvent), bienvenue dans la Upper Class à la française, mélange d'aristos déchus, de mécènes revenus de tout, de patrons du CAC ou à sa porte, mais rien de St Tropez: Trop vulgaire, trop Loana !
Non, là , nous sommes dnas le monde des bonnes manière, de la bonne éducation dispensée par des nannies anglaises zélées dès le plus jeune âge, d'expressions qui tombent "à propos" et sont à mourir de rire, de matière nobles genre veau barénia de chez Hermes, mais sans logo visible !
L'intrigue est assez cocasse: Deux héritières (n'oublions pas que l'auteure est une "David Weill") réalisent que la fabuleuse maison du Cap où elles passent toutes leurs vacances depuis leur plus tendre enfance, va être mise en vente par leurs parents. Non pas que ces derniers manquent d'argent... Que nenni ! ils en ont tout simplement marre de l'entretien, des menus "matin- midi-soir", du personnel de maison, des plans de table tous les jours, des bons mots, des anecdotes à avoir sous le pied pour, eux aussi,  les placer au bon moment... Bref ils disent stop et veulent se séparer de cette encombrante maison. En plus le Cap n'est plus ce qu'il était, cerné par les miliardaires Russes et Hindous du plus mauvais goût qui installent des châteaux gonflables roses à leurs enfants dans les jardins, ont des hordes de gardiens cerbères talkie walkisés et de chiens qui mordent, et poussent la sono à fonds pour fêter leurs anniversaires sous les fontaines de Champagne rosé...
Donc les deux soeurs vont trâmer un gentil complot (suggéré par un proche qui a déjà tout compris) pour conserver "leur" Agapanthe: Durant l'été, elles vont devoir touver parmi leurs invités dûment sélectionnés, "The right man". Il devra être assez riche pour permettre l'entretien de la maison et assurer leur train de vie, si possible beau et/ou sexy (mais ce n'est pas la priorité) et devra leur permettre de conserver ce bout d'enfance auquel elles ne veulent pas renoncer.
C'est une délectation d'assister à ce ballet incessant d'invités, qui se révèlent sur la scène du grand cabaret de l'Agapanthe ou il faut être juste: Les arrivistes, les maladroits, les malotrus défilent sur le catwalk avec leurs expressions apprises par coeur, leurs tenues vestimentaires scrutées...
La morale de ce livre et sa conclusion tiennent à ce qui nous rapproche de l'enfance et auquel il est difficile de renoncer, aux relations parents-enfants, à la vieillesse, la nostalgie, l'amour et la beauté de l'amour entre deux soeurs qui finissent par grandir et enfin se comprendre sns compétition.
J'ai lu ce livre en deux jours, dans mes trajets quotidiens de RER et mes voisins ont du souvent me voir sourire. Je l'ai déjà prêté à une copine et envisage de l'offrir à d'autres personnes. Ce fut un bon pur moment, que je vous invite à partager vraiment !

vendredi 16 avril 2010

Coup de foudre à Notting Hill ou le diable vit à Notting Hill?

Oubliez le film "Coup de Foudre à Notting Hill" ! En dehors de quelques "clichés" retrouvées dans le livre, vous n'y touverez pas votre compte... Sauf peut être le roomate de Hugh Grant, qui, s'il ne figure pas dans la cohorte des "caracters" du livre dont je vous parle aujourd'hui, a le grain de folie anglais de certains d'entre eux. Voui, Voui c'est bien de Spike dont je parle !!!

Mais , by the way, de quel livre suis-je en train de vous parler ? Du "Diable vit à Notting Hill" pardi ! Livre écrit par une connaissance de l'actuel maire de Londres dont tout le monde parle pour les élections legislatives en GB. C'est dire la référence...
Et bien revenons y quand même à the Comédie Romantique: Rapelez-vous "The Scène" où Julia Roberts, enceinte, se repose sur les genoux de son beau Hugh, c'est la fin du film  (Bon... pas de commentaires sur la vie mouvementée de ce dernier, hors caméra,ce n'est pas le lieu). Ils sont dans un square privé magique.  Et bien ce lieu si romantique que l'on trouve à Notting Hill, l'auteure y a transféré toute son intrigue. Plusieurs MNH (Mère Notting Hill) en quelque sorte des "desperates houswifes" hystéros, ont des époux qui occupent un poste de tuerie à la City ou alors sont milliardaires, architectes, journalistes dans House of Garden... Bref que des happy few, mais ce petit monde passe son temps à s'épier, se critiquer, se tromper, se faire des vacheries. Leurs enfants sont scolarisés dans une école avec une instit qui est top modèle, ne mangent que de la norriture végétarienne, s'habillent chez les créateurs du coin. Tout le monde piapiate, on a l'impression d'être dans un magazine de mode dans une chronique d'Alix Girod de l'Ain.  C'est pur sucre avec quelques phrases totalement poilantes, quelques longueurs aussi, mais c'est une bouffée de plaisir: A lire absolument.
Et vous vous avez aimé ???

vendredi 9 avril 2010

St Emilion: Ballade Nocturne

Munie de mon BlackBerry, j'ai imortalisé notre retour de l'Envers du décors, en faisant bien attention de ne pas glisser sur les pavés... avant de rentrer au Château !!!

Le Bassin: Episode 2

De la Ville d'Hiver, on se ballade entre Arcachon, le Mouleau, la Teste, les plages océanes.
On découvre qu'un des soirs de notre séjour, c'est l'avant première de Camping2, tourné à la sortie de la Teste, Direction les plages océanes, après la Dune du Pyla, face au banc d'Arguin...


Il fait beau, on a du sable dans nos chaussures, on mange des huitres des bulleaux et du tourteau, on mange des glaces sur
la plage du Mouleau... c'est Top
Il paraît qu'au Mouleau, c'est le lieu de RDV de la jeunesse dorée et des fêtard et je confirme. Lundi de Pâques, en se balladant, on découvre l'inauguration d'un bar lounge où la plupart des convives ne carbure pas au Pessac Lognan Blanc, mais à d'autres substances... c'est rigolo !!!

Le Bassin: Episode1

Deuxième étape de notre voyage: Arcachon. Direction, la ville d'Hiver, un hotel éco label, dont j'avais découvert des images sur Internet: l'Hôtel Ville d'Hiver. Et bien, je ne fus pas déçue de ce choix. C'est une création/réhabilitation, comme je les aime. Prenez un site inductriel su 19ème siècle appartenant à la Compagnie générale des eaux, réhabilitez le en hôtel à grand coup de peintures Farrow and Ball, posez trois petits bâtiments construits dans l'esprit du bâtiment central d'origine, ajoutez des produits de soin Docteur Hauschka, de l'au minérale des Abatilles (source arcachonaise) et voilà le travail... Trendy, cocconning, comfortable et chic... Je veux y revenir !!!

Vino tourisme


M. Stephaniechristophe et moi avions décidé d'aller nous changer les idées dans l 'OUEST. Nous voulions un endroit reposant, alliant tourisme, beaux paysages et bonne chère.
Première étape Pascale: St Emilion. Pas de déception !!!
Ville musée certes, mais images de cartes postales, Chambre d'Hôtes dans une Girondine: Château Monlot, dîner à l'Envers du décors "the place to be" in St Emilion... Bref: deux jours
coolissimes, dont vous découvrez quelques clichés, notamment une dégustation au Château, après la visite des chais, aux alentours de 11h30 !!!